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Wisteria Lodge

by Demian Clav

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1.
White Mirror 06:35
2.
Bewilderment 06:07
3.
4.
5.
6.
7.
Voices 05:36
8.
9.
Someone 03:24

about

Second official Demian Clav album.

Set up by D. Clavreul (vocals, guitar & keyboards) and Jean-Charles Wintrebert (drums & cello) this French duo hailing from Nantes has launched their 2nd album on Prikosnovénie. The album surprises for its upfront psychedelic guitar parts, multiple experimental elements and D. Clavreul particular, androgen timbre of voice. Right from the beginning, Demian Clav moves into psychedelic and rock elements with refined arrangements on top. An impressive list of guest musicians contributed to the album, which maybe explains the use of multiple influences. So we notice gothic elements on a few songs while other parts of the album are closer to the soundtrack style. Several songs are featuring spoken vocals, which is also the opposite of the heavenly voices that are typical on Prikosnovénie releases. “Wisteria Lodge” sounds pretty dark as well. Somewhere in between pure melancholia and real darkness. (Side Line/DP)

Fin 2009, les Français de Demian Clav impressionnaient l'auditoire grâce au très crépusculaire et cryptique "Nightfall Prayers" : une curiosité sonore dont la singularité n'avait d'égale que son caractère ensorcelant. Son successeur "Wisteria Lodge" emprunte les mêmes sentiers nébuleux pour parvenir à une finalité tout aussi déconcertante. Inspiré d'un récit d'Arthur Conan Doyle (l'auteur de Sherlock Holmes), le duo nantais dérange et cisèle neuf titres cinématographiques (le choix des samples est remarquable) aux orchestrations baroques rythmées par le romantisme, la peur et l'angoisse. Sur cette bande sonore élégiaque aux allures d'album concept, le déploiement de bonnes idées saturniennes atteste des qualités d'art d'une référence en devenir. Claviers fantomatiques en toile de fond, cordes satinées, ambiances oppressantes et surtout ces psalmodies, ces cris du cœur composent ces litanies énigmatiques; à n'en pas douter, ce sombre poème original et troublant interpellera rudement le chaland. "Wisteria Lodge" ne s'appréhende pas facilement, un temps d'immersion est nécessaire pour s'en délecter mais assurément le jeu en vaut la chandelle. Faisant référence tour à tour à un rock très floydien (le sublime et pénétrant "White Mirror"), une audace à la Legendary Pink Dots et une théâtralité néoclassique savamment mise en mouvement ("Bewilderment"), les deux auteurs de Demian Clav se posent en véritables dramaturges et nous offrent une oeuvre de l'esprit... Impressionnant. (Obsküre/Yann Swäno Mondragon)

Nous avions remarqué ce duo singulier formé en 2006 à Nantes lors de la sortie fin 2009 de ses Nightfall Prayers, compagnes de route parfaites pour cheminements intérieurs, solitaires et nocturnes. Cette fois, l’univers très lettré de D. Clavreul (ex membre du groupe Evidence qui opérait déjà dans des contrées similaires à celles de Demian Clav entre art-rock, dark-wave et influences de musique classique) se tourne vers une des histoires de Sherlock Holmes d’Arthur Conan Doyle qu’il met en musique à la manière d’une bande originale intimiste et mystérieuse.

On pourrait approximativement décrire la matière musicale de Wisteria Lodge comme un croisement entre le Pink Floyd de The Wall ou de Medle, le Lacrimosa d’Angst, le néoclassique de Dark Sanctuary et le rock inventif de Peter Hammill, Demian Clav ayant la particularité de savoir associer l’introversion la plus délicate et l’ambition un peu démonstrative du rock progressif. La progression narrative s’opère en séquences souvent longues, au gré d’une instrumentation variée (cordes, piano, claviers, batterie, orgue…) complétée de divers samplers. Quelques extraits du texte original s’immiscent ponctuellement en voix parlée et le chant participe quant à lui, lorsqu’il survient, à une atmosphère feutrée et inquiétante dans laquelle se réveillent des fantômes de l’ère victorienne. De façon encore plus aboutie qu’avec son premier album, la personnalité unique de Demian Clav se dessine avec force.
(Elegy/Jessica Boucher-Rétif)

Il est des albums qui vous surprennent et vous comblent tout d’abord parce qu’ils ne sont pas ce qu’ils vous semblaient être au premier ‘regard’. Wisteria Lodge, nouvel opus de Demian Clav est de ceux-là. À en voir la pochette, à en écouter trois notes rapidement, on pourrait s’attendre à du gros goth qui tâche, ambiance mal à la vie et apprenti Burton au fond d’une garçonnière. Mais on se laisse vite tenter, ne serait-ce que parce que leur précédent Nightfall Prayers, sorti en 2009, était déjà excessivement prometteur. Et puis un groupe qui revendique The Legendary Pink Dots et And Also The Trees comme références ne peut pas être mauvais. Non, c’est juste impossible, foi de ‘fan chick’ invétérée. Bref. C’est comme cela qu’on plonge, de préférence la tête la première, pour rejoindre la contrée de Wisteria Lodge. Car avant toute chose, cet album, c’est la bande son d’un voyage au cœur d’un manoir hanté d’ombres et de lumières. Oscillant entre les musiques dites progressives avec une aisance déconcertante et les envolées gothiques jamais incongrues ni surjouées, l’album plante un décor angoissant sans jamais tomber dans la facilité d’en devenir oppressant. Nous voici à Wisteria Lodge, un drôle de ‘pavillon des glycines’ qui semble cacher un lourd secret. Un secret qui sent le sang frais, la jeune fille en déroute et les fantômes oubliés d’un passé indatable, aux frontières de l’étrange, dans des silences fracassants. Un secret qui se murmure le doigt sur la bouche et les yeux mi-clos, surtout. Car on se laisse immédiatement porter et transporter dans l’univers des Nantais, dès les premières notes, entre prog et batcave, chantées d’une voix tourmentée dont on ne saurait dire si elle nous invite ardemment pour nous supplier de partir tant qu’il est encore temps ou l’inverse.
Les moments tragiques de perdition (l’héroïque “Dead Offering” et sa guitare déchirée au goût salé et le poignant et désespéré “Useless Servant” hanté par un violoncelle virtuose et des voix éthérées flirtant avec l’heavenly) et les éclairs salvateurs (le “Someone” final, triste et lumineux à la fois) sont savamment agencés et nous tiennent la main au travers de ce périple en pleine nature, sans autre repère. Car si l’on croise les souffles et les ruissellements de Mère Nature, si l’on aperçoit l’âme de Sir Arthur Conan Doyle venue se perdre en ces lieux, c’est bien seul-e et le souffle court et mélancolique que l’on écoute cette sonate (”Winter Lies Sonata”) qui transcende le chagrin.
En somme, on ne sort pas indemne de cette sombre et poignante ballade. Cette épopée solitaire, virtuose et immobile nous fait visiter les tréfonds de notre âme désolée, cette sensible psyché, ce miroir blanc (”White Mirror”) tué à petit feu par la fast-music dans tous les pavillons et joliment ressuscité ici dans un lyrisme plein de poésie et de grâce fine. ‘J’ai pleine conscience de la beauté des ténèbres’ (en référence à la locution latine qui orne le livret de l’album), grâce aux chercheurs de notes et fouilleurs d’émoi que sont Demian Clav.
(Les Immortels/Killer Queen)

Look classe et ambience cold wave, ça fait plus de vingt ans que D. Clavreul marque la communauté internationale des musiques dark, du collectif Evidence jusqu’à la collaboration avec Gerard Malanga. Dans la même lignée, DEMIAN CLAV propose une musique forte et cohérente. Mais posons une hypothèse. L’originalité ici est construite sur ce qui devrait à la base constituer un non sens artistique. La jonction de deux courants a priori incompatibles. D’abord, le rock progressif, dans son expression la plus rococo et des concepts à n’en plus finir. Si le groupe cite Van der Graaf Generator comme influence, je pense plutôt pour ma part au Pink Floyd crépusculaire de “Final Cut”. Un mouvement dévié par la part gothique du groupe, plus proche toutefois des Legendary Pink Dots que de Sisters of Mercy. Une sorte de gothique beatnik pré-batcave. Singulier mais trippant.
(Gérôme Guibert)

Mi album, mi film ce second album de Demian Clav vous emportera dans un univers mystérieux et alambiqué dans lequel vous risquez de croiser le très connu Sherlock Holmes, puisque Wisteria Lodge est tiré de l'une des 56 mini-histoires de ce célèbre détective, « The Adventure of Wisteria Lodge » par Arthur Conan Doyle, écrit en 1908 et d'abord publié en 2 parties : « The Singular Experience of Mr John Scott Eccles » et « The Tiger of San Pedro ». Meurtre, sang, fantômes, secrets sont au rendez-vous... Petite précision, dans la version Demian Clav, l’héroïne est une demoiselle. Dès le premier titre, « White Mirror » nous entrons dans l'univers sombre et illusionniste de ce Wisteria Lodge. Des pas, un souffle, du vent dans les branchages, une musique lointaine qui se fait de plus en plus présente et cette voix, cette voix enchanteresse et douce qui s'accorde parfaitement avec l'ambiance proposée, ces guitares enivrantes, l'atmosphère qui commence à être tendue, l'orgue et le violon qui viennent donner un air encore plus énigmatique à l'ensemble... Vous venez d'entrer dans l'histoire, vous devez aller au bout de l'enquête !! Avec « Bewilderment » nous découvrons la narratrice qui va accompagner D. Clavreul et sa voix aérienne, tantôt parlée, tantôt chantée, tantôt en anglais, tantôt en français, et qui offre une diversité vocale non négligeable.
Demian Clav nous offre une musique complexe et attirante à la fois, accessible au plus grand nombre. On pourrait qualifier leur son de prog à tendance gothique avec des éléments rock, le tout sur des airs néo-classique. Tout ces éléments assemblés font de ce Wisteria Lodge une perle musicale ambiante, calme et sensible.
Ne passez pas à côté de « Dead Offering » qui nous offre peut être le moment le plus grave de l'album. Les sonorités mystérieuses emplissent nos oreilles et ce chant si lointain est émouvant. C'est sombre, beau, aérien. « Voices » sera dans la même veine et les nombreux bruitages rendent le morceau encore plus énigmatique. Un régal. « Someone », le final est lui aussi de toute beauté avec ses violons. Triste et plein d'espoir il clôt l'album merveilleusement.
Ce Wisteria Lodge est beau, profond, plein de sensibilité et d'émotions. Demian Clav est une révélation, je ne peux que vous conseiller de jeter une oreille attentive sur cet album.
(Angel/MagicFireMusic Webzine)

Un psychédélisme gothique qui nous amène à faire de fainéantes comparaisons avec The Legendary Pink Dots. Qui oserait se mesurer à ces tâches roses indélébiles ? Non, Demian Clav n'est pas mieux ni moins bien, bien au contraire... Il flotte dans un univers aérien d'une immense beauté. Exercez vos sens à écouter une cathédrale gothique. A travers les sons, les notes, la musique, votre ouïe vous projette en des hauteurs cisterciennes que seule l'âme peut atteindre. Chœurs, voix, orgue, piano, guitares acoustiques et électriques allient le dépouillement spirituel et le raffinement que ces architectures religieuses pointaient vers les cieux, non pas comme un défi, mais comme une volonté de pureté dans la dévotion. Les arrangements pour cordes qui sortent des synthétiseurs semblent être joués par un orchestre philharmonique. Ils épousent eux aussi les entrelacs magnifiques des croisées d'ogive et des rosaces inondées de lumière. Le précédent album de Demian Clav, Nightfall Prayers (Cykxincorp Records, 2009) évoquait un Pink Floyd qui non seulement aurait engagé un organiste tout droit sorti d'une église, mais qui aurait aussi maintenu en ses rangs un Syd "Madcap Laughs" Barrett n'ayant pas subi les excès du LSD. Sur Wisteria Lodge Demian Clav partage plus encore cette forme psychédélisme progressif, à la fois sombre et poétique, qui est aux fondements de The Legendary Pink Dots, pour qui ils ont assuré des premières parties. Wisteria Lodge nous emporte à chaque écoute dans un sublime élan romantique.
(Néosphères)

credits

released February 12, 2011

Music & Lyrics by D. Clavreul
Except "Winter Lies Sonata" (D.Clavreul/J.C Wintrebert)

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about

Demian Clav Paris, France

Victorian Rock

"Somewhere in between pure melancholia and real darkness."

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